PH : Une rencontre avec des aliènes, non. J’ai vu un OVNI, à environ 120 miles au nord de Toronto, au-dessus du Lac Muskoka, où j’ai un cottage. Il y a deux ans, durant Thanksgiving, en octobre, mon épouse m’a dit qu’elle voulait sortir observer les étoiles, alors … je ne suis pas un noctambule … mais j’ai mis mon manteau et je suis sorti avec elle et elle s’est tournée vers le ciel à l’est et a dit « il y a une étoile » et je me suis tourné dans cette direction et j’ai dit « oh, il y en a une beaucoup plus brillante par là-bas, et elle a regardé et nous l’avons observée jusqu’à en avoir mal au cou pendant environ 20 minutes, et c’était réellement un OVNI parce qu’il pouvait changer sa position dans le ciel de trois à quatre degrés en trois ou quatre secondes. J’ai vérifié – il n’y avait pas de satellites capables de faire cela, aucune station spatiale ne passait à ce moment-là et ne pouvait de toute façon pas se déplacer à cette vitesse et il n’y avait pas d’autre explication excepté que c’était bien réel. Deux jours plus tard, j’y suis retourné à la nuit tombée, je me suis installé dans une chaise confortable et j’ai observé. Il est revenu quasiment au même endroit et m’a diverti aussi longtemps que je pouvais. Puis je suis retourné au cottage mais c’était très intéressant parce qu’il pouvait plonger puis remonter à toute vitesse, puis se déplacer latéralement de quelques degrés et décrire un cercle et revenir à une vitesse astronomique, car on sait qu’ils voyagent à très, très grande vitesse.
SS : Donc cela ressemble à une étoile tombante qui descend très vite pour remonter à nouveau ? A quoi cela ressemble-t-il ?
PH : Eh, cela ressemblait à une étoile.
SS : Cela ressemble à une étoile ?
PH : Je ne sais pas si vous avez déjà lu la Bible ou non mais je pense que l’étoile de Bethlehem était une des soucoupes volantes de Dieu.
SS : Vous m’avez dit que les gens vous écrivaient des courriels, de trois à cinq par semaine, qu’ils avaient été enlevés ou avaient rencontré des aliènes. Vous disent-ils à quoi ressemblent ces aliènes ? Je pense que cela intéresse tout le monde – comment saurais-je si je vois un aliène et qu’il m’enlève ?
PH : La première question que vous devez vous poser est combien d’espèces sont là ? Je pensais qu’il y en avait entre deux et douze. L’astronaute d’Apollo, Edgar Mitchell, qui est venu à Toronto il y a quelques années et avec lequel j’ai dîné était d’accord qu’il y en avait entre deux et douze, mais les derniers rapports qui me sont parvenus de diverses sources font état d’environ 80 espèces différentes et certaines d’entre elles nous ressemblent au point que s’ils marchaient dans la rue vous ne les reconnaîtriez pas au passage. Ce sont ceux que nous appelons les « Blonds nordiques » et aussi les « Grands Blancs » qui travaillaient avec l’US Air Force au Nevada. Ils sont capables de se dissimuler ainsi, ils avaient quelques femmes habillées en religieuses qui sont allées faire des courses à Las Vegas et elles n’ont pas été repérées. J’avais un ami qui a vu un de ces hommes dans la rue, il sait reconnaître la différence, et c’est ainsi qu’il l’a repéré. Ensuite il y a les « Petits Gris » comme on les appelait, et ce sont ceux que vous voyez dans la plupart des bandes dessinées, ils ont des bras et des jambes très, très minces, ils sont très petits, font un peu plus de 5 pieds (1 mètre 50), et ils ont une grosse tête et de gros yeux bruns. Mais il y a différentes espèces et vous devez savoir qu’il y a différentes espèces et qu’elles sont toutes différentes. Si vous voyiez les « Petits Gris » vous sauriez immédiatement que vous êtes en présence de quelque chose que vous n’avez jamais vu, mais si vous voyiez un des « Blonds nordiques » vous vous diriez probablement « oh je me demande si elle vient du Danemark ou d’un pays voisin ».
SS : Donc ces espèces que vous décrivez – sont-elles toutes différentes en termes d’amicales ou d’hostile ? Certaines sont-elles amicales et bienveillantes et d’autres menaçantes, comment sont-elles ? Sont-elles bien disposées par rapport aux habitants de la Terre ou sont-elles là pour nous faire du tort ?
PH : C’est une question à laquelle il est difficile de répondre, parce qu’ils ont des intentions différentes et peut être que nous tous sur Terre devrions avoir le même agenda, mais vous ne pourriez pas dire, par exemple, que la Russie et la Chine et les Etats-Unis aient tous le même agenda à chaque fois, parce que ce ne serait pas le cas. Je dirais que presque tous sont pacifiques et bienveillants et veulent nous aider, il peut y avoir une ou deux espèces qui ne sont pas dans ce cas. C’est une des choses sur lesquelles j’enquête en ce moment, de voir qui ils sont, quelles sont leurs intentions et quels sont réellement leurs plans.
SS : Ces créatures extraterrestres – d’où viennent-elles ou comment sont-elles arrivées ici, sur Terre ?
SS : Mais, que voulez-vous dire, il y a des tas de gens qui veulent être en relation avec eux, il y a un tas de gens qui veulent les voir et savoir qui ils sont. Quoi, ont-ils besoin d’une invitation spéciale pour entrer en contact avec nous ? Qu’est-ce que cela veut dire – « ils ne veulent pas interférer dans nos affaires » ?
PH : Ils ne veulent pas nous dire comment diriger nos affaires, ils ont accepté le fait que c’est notre planète, et que nous avons le droit de la diriger, mais ils sont très, très préoccupés : ils ne pensent pas que nous soyons de bons gestionnaires de notre planète, nous déboisons nos forêts, nous polluons nos rivières et nos lacs, et nous rejetons nos déchets dans les océans, et nous faisons toutes sortes de choses qui ne sont pas ce que de bons gestionnaires devraient faire. Ils n’aiment pas cela et nous l’ont bien fait comprendre. En fait ils nous ont adressé un avertissement.
SS : Comment ?
PH : C’est venu de plus d’une source …
SS : Comment se sont-ils fait comprendre, qu’ont-ils fait ?
PH : Ils ont parlé à des gens. Un des gars avec lesquels j’ai parlé il y a environ un mois était en contact avec eux en 1974, lui et son frère, au Pérou. Ils ont été envoyés sur Andromède, téléportés. On leur a dit ce que les gens de là-bas pensaient et que nous étions en train de détruire notre planète et qu’en fait quelque chose de terrible allait lui arriver si nous n’y remédions pas et ne changions pas nos comportements. Nous passons trop de temps à nous combattre, nous dépensons trop d’argent dans les dépenses militaires et pas assez à nourrir les pauvres et à nous occuper des sans-abris et des malades, et que nous polluons notre eau et notre air et que nous faisons joujou avec des armes exotiques, thermonucléaires et nucléaires, qui ont des effets si dévastateurs à la fois sur la Terre et sur d’autres régions du Cosmos. Ils n’aiment pas cela et c’est la raison pour laquelle ils aimeraient travailler avec nous, pour nous apprendre d’autres façons de faire, mais seulement, je pense, avec notre consentement. Ils agissent à travers des individus ; ils essaient et choisissent des individus qui n’ont pas une peur bleue d’eux, car ils peuvent très bien vous effrayer. Un des cas qui m’est familier est celui des « Grands Blancs » au Nevada, où un aviateur américain qui travaillait avec eux fut pris d’une peur mortelle, et l’un d’entre eux, Charles Hall, sauva la fille d’un des hauts gradés des « Grands Blancs » et en conséquence devint un ami de la mère, et dès qu’ils se sont fait confiance les uns les autres, ils ont noué une merveilleuse relation. Il a écrit un livre là-dessus, intitulé « Millennial Hospitality » (Hospitalité millénaire, NduT.) – qui raconte comment vous passez à travers ces stades, d’avoir une peur bleue, puis, lorsque vous établissez des rapports de confiance et une relation durable – vous pouvez entretenir le même genre de relation que vous auriez avec quelqu’un d’ici sur Terre.
SS : Mais voilà ce que je pense : si vous révélez leur présence, ce qui n’est clairement pas ce qu’ils veulent, parce qu’ils se cachent, pourquoi n’avez-vous pas peur des répercussions ? Vous affirmez à l’évidence qu’ils sont ici, parmi nous, en me décrivant toutes les espèces qui existent …
PH : Ils sont parmi nous et je n’ai pas peur parce que dans la plupart des cas, en ce qui concerne la technologie, ils ont des années-lumière d’avance sur nous, et nous avons appris d’eux un tas de choses. Beaucoup de choses que nous utilisons aujourd’hui proviennent d’eux, vous savez – les lumières Led et les puces électroniques et les gilets en Kevlar ® et toutes sortes de choses issues de leur technologie et nous pourrions en avoir beaucoup plus encore, particulièrement dans les domaines de la médecine et de l’agriculture si nous les utilisions pacifiquement. Mais, je pense, il se peut que certaines personnes chez nous soient plus intéressées par de la technologie militaire et c’est la mauvaise direction à prendre, et c’est une des choses que nous allons devoir changer, parce que nous allons devoir travailler ensemble, nous tous, partout sur la planète.
SS : Vous avez mentionné la technologie militaire et des échanges de technologies et de troc entre aliènes et des gens du gouvernement américain. Je veux vous demander en tant qu’ancien ministre de la Défense du Canada – une guerre interstellaire est-elle possible ? Devrions-nous créer une force de Guerre des Etoiles pour nous défendre d’une éventuelle invasion ou de quelque chose de ce genre ?
PH : je pense que c’est une possibilité, mais c’est une possibilité particulièrement si vous descendez chaque OVNI qui pénètre dans votre espace aérien sans demander qui ils sont et ce qu’ils veulent. Depuis le début nous avons commencé à leur envoyer des avions d’interception, à essayer de les descendre, mais leur technologie était assez en avance pour que nous n’y parvenions pas, certainement pas avant longtemps. Durant cette période, ils auraient pu nous envahir sans problème s’ils avaient voulu, donc je pense, plutôt que de développer notre propre Guerre des Etoiles pour nous protéger d’eux, nous devrions travailler avec les espèces bienveillantes qui sont la grande majorité et travailler ensemble, et nous reposer en grande partie sur eux bien sûr, et coopérer, afin de réaliser quelque chose en même temps ; je ne pense pas qu’il y ait de danger que nous développions une force galactique qui nous inciterait à faire cavalier seul et à semer le trouble, ce qui est une des choses que certains d’entre eux redoutent.
SS : Que croyez-vous qu’il va se passer si les gens commencent à croire à l’existence d’aliènes sur Terre ? Les choses vont changer définitivement : nos vies ne seront plus jamais les mêmes.
PH : J’espère que ce soit le cas. Je suis absolument pour la Divulgation totale, et je vais faire fortement pression en faveur de la Divulgation totale dans le livre que je suis en train d’écrire, d’en donner certaines raisons, des choses que nous devons réellement savoir et que nous avons le droit de savoir. Notre avenir en tant qu’espèces, et par là j’entends toutes les espèces du monde, est potentiellement en danger si nous ne comprenons pas ce qui se passe et si nous ne travaillons pas pour essayer de rendre la vie plus vivable pour nous tous, et si nous ne travaillons pas également avec nos voisins d’autres planètes.
SS : Tout de même, je me dis – s’ils ont été là pendant si longtemps comme vous le dites, et qu’ils sont intéressés à aider l’humanité, comme vous le dites, pourquoi notre monde est-il dans un si triste état ? Si vous voulez aider quelqu’un, vous l’aidez simplement, vous n’attendez pas que quelqu’un vous demande de l’aider, non ?
PH : Je pense que les parents disent parfois à leurs enfants – « voilà ce que vous devriez faire », mais cela ne veut pas dire que les enfants vont le faire, n’est-ce-pas ? Le Cosmos est basé sur le libre-arbitre. Nous avons le choix de faire des erreurs, ou de faire des choix erronés, et je pense, ce qui préoccupe certains d’entre nous, est que nous ayons fait trop de choix erronés, et pas assez de bons choix. Donc nous allons devoir changer nos priorités et arrêter de dépenser autant de temps et d’efforts dans des armes pour nous entretuer, ou nous dominer les uns les autres, et passer beaucoup plus de temps à nous entraider pour avoir une vie meilleure et une société plus juste, et une vie plus saine. Que la santé soit meilleure et l’alimentation en nourriture soit meilleure et que l’air soit plus pur et l’eau plus pure et que toutes ces choses qui sont en attente soient faites, si nous nous réunissons, et comme on dit, ramons dans la bonne direction, dans la même direction, c’est faisable, mais c’est une tâche immense et jusqu’à présent nous ne l’avons pas réalisée. Ma thèse est que nous devons le faire, nous devons nous y atteler dès à présent.
SS : Merci beaucoup pour cette intéressante interview et cet aperçu de la vie extraterrestre. C’était Paul Hellyer, un ancien ministre canadien de la Défense, qui nous dit que les aliènes existent et vivent parmi nous sur Terre. Le temps qui nous est imparti est écoulé, je vous donne rendez-vous pour la prochaine édition de Sophie&Co.
(vidéo de l’entretien depuis la Russie à Moscou et Toronto au Canada)
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