Qu’est ce qu’être humain ? par Steve Beckow
2012 8 AVRIL 2012
Posté par Steve Beckow
Le modèle de l’Adam/Eve Kadmon
Je suis heureux que tant de personnes aient apprécié le dernier article de cette série (1) et désirent démarrer une conversation globale. Poursuivons donc cette idée. Une conversation globale est adressée à la race humaine. Alors peut être puis je me permettre d’exprimer mon propre point de vue sur ce que signifie est humain.
Je ne suis pas anthropologiste, mais j’ai travaillé de nombreuses années comme historien culturel. Cependant cette conversation se veut de bon sens et non scolaire ou académique d’une quelconque manière.
Qu’est ce qu’être humain ? Croyez le ou non, les êtres humains peuvent atteindre ce stade de l’évolution par différents chemins. David Wilcock a décrit certains d’entre eux:
“Le corps humain apparaît dans la galaxie sur chaque planète où la vie peut se former. C’est une évolution naturelle. Certains peuvent l’atteindre par le biais de la forme de l’insecte, d’autre par celle du lézard, ou encore celle du mammifère, comme nous. Certains y parvienne par la forme de cétacés, et même, apparemment, par la végétation.” (2)
Même si les humains peuvent être des mammifères, des reptiles, ou même à partir de plantes, les humains autour de la planète actuellement sont tous de la même branche génétique que nous, en fait, ce sont nos ancêtres, ce sont les premières races qui ont peuplé la Terre.
La forme de base est connue sous le nom de modèle de l’Adam/Eve Kadmon et est le mieux représenté dans le dessin de Leonardo (ci dessus) ou la Plaque du Voyageur (ci dessous). Ce modèle est vertical, bipède, bilatéralement symétrique, avec une vision périphérique localisée sur l’avant du visage, des bras, des mains, des pouces opposés, un cerveau à hémisphères, etc. La forme est humaine, mais l’esprit est divin. L’esprit est à un niveau d’évolution qui est appelé être humain. Comme on dit, nous ne sommes pas des humains ayant une expérience spirituelle, mais des esprits ayant une expérience humaine. Nous sommes immortels et vivons de nombreuses vies, seulement certaines d’entre elles en tant qu’êtres humains.
La Plaque du Voyageur: Un autre aspect du Modèle de l’Adam/Eve Kadmon
La forme humaine physique a certains aspects : le biologique, le culturel, l’émotionnel et le spirituel. L’aspect biologique tourne autour des besoins de se nourrir, boire, respirer, dormir, procréer, s’habiller, etc. Ces besoins sont uniquement associés à la Troisième Dimension. Nous partageons ce niveau d’existence avec les animaux, mais nous comblons nos besoins d’une façon proprement humaine, au travers de l’usage de la culture et des outils.
L’aspect culturel touche à l’échange d’idées. La culture= les idées. Nous conférons un sens à des symboles, librement et arbitrairement, afin de créer une idée qui puisse être communicable. Cette chose grande en bois, je pense que je vais l’appeler un arbre (No, no, a « tree ») Cet animal qui aboie, je l’appellerai un chien (No, no, a « dog ») Nous communiquons, rêvons, répétons et nous souvenons en idées. Nous saisissons l’idée, en faisons une croyance et nous nous donnons le mot.
Lorsque j’étais historien culturel, je disais que la culture était une organisation d’idées, un manifeste d’actes et d’objets, de pensées, qui ne seraient que les moyens par lesquels nous pensons, répondons et entreprenons des actions. Nous vivons dans un monde d’idées, tandis que les animaux y vivent ou non (certains affirment qu’ils y vivent).
Il y a un aspect émotionnel en nous qui se base sur la biologie et la culture. Nous répondons émotionnellement aux besoins et envies de notre corps, et de nos pensées et actions. Nous répondons émotionnellement aux autres. Nous répondons même à nos rêves et fantasmes avec nos émotions. Nous aimons et détestons, désirons et rejetons, sommes attirés ou repoussés. Nous sommes révulsés ou inspirés, jubilants ou déprimés, encouragés ou découragés. Et ensuite redoublons tout ca et formulons des pensées au sujet de nos émotions.
SaLuSa, être humain de Sirius
L’aspect spirituel fonde le culturel et l’émotionnel, en commençant par le pouvoir de se rendre objet. Nous avons appelé le fait de prendre conscience de soi-même la « conscience ». C’était une grande innovation. On peut tout rendre objet, et même finir par faire de Dieu lui même un objet. Tandis que nous élargissons notre conscience, tirés vers l’évènement pour lequel toute vie a été créée (l’illumination), on s’approche du processus ou Dieu passe d’objet en Sujet unique. Nous avons évolué de la conscience de soi à la Réalisation de soi, en utilisant la conscience objet afin d’atteindre la conscience sans objet.
Ces processus sont ce que tous les humains partagent. Si nous voulu prendre un point de vue humain, et non américain, ou catholique, ou républicain, alors nous observerons ce que nous sommes et faisons en lien avec nos mois biologiques, culturels, émotionnels, spirituels et autres.
Nous n’avons pas parlé de ceux ci avant aujourd’hui- pas communément. Certains savants le font, mais pas la société. Nous avons parlé des candidats aux élections présidentielles, de la livre sterling, des prix du logement. Nous avons parlé du Vatican, de Burma, et des vaisseaux spatiaux. Nous avons toujours un une vue partielle, la vue spécifique, la seule et unique perspective. Nous nous concentrons toujours sur les différences.
Mais les invités au diner nous obligent aujourd’hui à devenir conscients de nous mêmes en tant que planète. Si nous parlons de Pléiadiens, d’Arcturiens, comment ne pas penser aux terriens ? On se rend tout à coup compte que nous avons besoin d’en apprendre encore beaucoup sur nous mêmes alors que nous essayons d’en savoir plus sur eux. Nous réalisons que la galaxie nous étudie. Contactez juste la liste de distribution de Ellie Miser. Ellie est un enfant des étoiles pléiadien qui nous étudie d’un point de vue anthropologique.
Ils nous étudient. Nous les étudions. Maintenant nous devons également nous étudier nous mêmes. Nous devons nous surveiller, faire la liste de nos crédits et débits, de nos surplus et insuffisances, de nos dons et de nos faiblesses.
Asket, Billy Meier's human Timorian mentor
Comme je l’ai dit dans un article précédent, en ce qui concerne le travail qui doit être effectué d’ici à la fin de l’année, le premier mot est « des problèmes ». Notre but et de rendre possible ce qui ne l’est pas.
Mais nous avons également besoin de se connaître les uns les autres d’un point avantageux pour les humains. Apres des années à se concentrer sur nos différences, nous avons désormais besoin de nous concentrer sur nos similitudes. Qu’est ce qui nous relie tous ? Nous avons tous les mêmes besoins biologiques. Nous vivons tous nos vies en utilisant et communiquant des idées. Nous avons tous des réactions émotionnelles, aux choses. Et beaucoup d’entre nous sentent l’appel du spirituel.
Donc voilà ce que signifie être humain, tout du moins sur la planète Terre. Ceux qui viennent d’autres dimensions et endroits diner sont plus proches de nous. Nous savons déjà qu’ils ont la forme de l’Adam Kadmon. Leurs corps peuvent avoir les mêmes processus biologiques que nous ou peut être moins que nous. Ils échangeront en idées, peut être par télépathie. Ils réagiront aux choses avec des émotions, peut être de façon moins dramatique que nous. Et nous savons qu’ils servent le même Dieu, voient comme but à la vie le fait de se connaître ne faisant qu’un avec Dieu, vivent leur vie au service des autres.
Donc ceci est un aperçu de ce qu’on peut apercevoir de ce qu’est être humain, même si nous parlons de nous comme des humains ou des habitants de la galaxie. Alors que nous débutons cette conversation globale, nous parlons tel un être humain à un autre et cet article décrit ce que nous partageons en commun.
NOTES
(1) “Having a Global Conversation,” April 7, 2012, à http://the2012scenario.com/2012/04/having-a-global-conversation/
(2) Project Camelot Interviews David Wilcock, Partie 2 de 4, à http://www.youtube.com/watch?v=0Bz9YPriDLo&feature=channel . Pour plus d’informations, voir For “We Gaians (Repost),” à http://the2012scenario.com/2011/10/we-gaians-repost/
Source: The 2012 Scenario
Traduction : Constance
Source: The 2012 Scenario
What Does It Mean to be Human?
2012 April 8
I’m glad so many people enjoyed the last article in this series (1) and are interested in beginning a global conversation. Let’s take another step towards starting one. A global conversation is addressed to the human race. So perhaps I can be permitted a few words on my view of what it means to be human.
I’m not an anthropologist but I worked many years as a cultural historian. Nonetheless this is meant as a commonsensical discussion and not one that’s somehow scholarly or academic.
What does it mean to be human? Believe it or not, human beings can achieve that level of evolution by different paths. David Wilcock described some of them:
“The human body shows up in the galaxy on every planet where life can form. It’s a natural evolution. Some might get there by an insect; some might get there by a lizard; some might get there by mammals like we do; some might get there by cetaceans; some might get there even by vegetation, apparently.” (2)
Even though humans can be mammalian, reptilian, or even plant-based, the humans around our planet at the present time are all of the same mammalian genetic makeup as we are; in fact they’re our ancestors, the races that first populated the Earth.
The basic human form is known as the Adam/Eve Kadmon template and is best represented in Leonardo’s drawing (above) or the Voyager Plaque (below). That template is upright, bipedal, bilaterally symmetrical, with stereoscopic vision located on the front of the face, arms, legs, opposable thumbs, a brain with hemispheres, etc.
The form is human, but the soul divine. The soul is at a level of evolution called being human. As the saying goes, we are not humans having a spiritual experience but spirits having a human experience. We’re immortal and live many lives, only some of them as humans.
The physical human form has certain aspects: the biological, cultural, emotional, and spiritual. The biological aspect centers around the need to eat, drink, breathe, sleep, procreate, clothe ourselves, etc. These needs are only associated with the Third Dimension. On higher dimensions, our needs are fewer and our means of satisfying them don’t depend as much on work. We share this 3D level of existence with animals, but we satisfy our needs in a peculiarly human way, through the use of culture and tools.
The cultural aspect relates to the fact that we traffic in ideas. Culture = ideas. To create an idea that can be communicated, we bestow meaning on symbols, freely and arbitrarily. This tall wooden thing before me I think I will call a “tree.” (Non, non, un “arbre.”) This barking animal I will call a “dog.” (Non non, un “chien.”) With ideas, we communicate and dream, rehearse and remember. We get the idea, make believe, and pass the word along.
When I was a cultural historian, I used to say that culture was an organization of ideas, manifest in act and artifact, though consisting of neither, by means of which we think, respond and take purposive action. We live in a world of ideas, whether animals do or do not. (Some say they do.)
There is an emotional aspect to us which builds on both biology and culture. We respond emotionally to our body’s needs and urges and to our thoughts and actions. We respond emotionally to others. We even respond emotionally to our dreams and fantasies. We love and hate, desire and reject, lean towards and away from. We’re repulsed and inspired, jubilant and depressed, encouraged and discouraged. And we then we double back and have thoughts about our emotions.
The spiritual aspect builds on the cultural and emotional, beginning with the power to make an object of ourselves. Taking cognizance of ourselves we term “self-consciousness.” It was a huge innovation. We can make of anything an object and end up making one of God as well.
As we expand our consciousness more and more, moving towards the event for which all life was created (enlightenment), we move ever closer to transforming God from an object into the one and only Subject. We’ve moved from self-consciousness to Self-Realization, using object-consciousness to reach consciousness without an object.
These processes are what all of us humans share. If we want to take a human perspective rather than an American or a Catholic or a Republican one, then we’ll be looking at what we are and do relative to our biological, cultural, emotional, and spiritual selves and others.
We haven’t been speaking about these before now – not commonly. Certain scholars do, but not the mass of society. We’ve been speaking about Presidential candidates, the pound sterling, and housing prices. We’ve been speaking about the Vatican, and Burma, and space shuttles. Always we take the partial view, the specific view, the named and unique perspective. Always we focus on differences.
But we’re being obliged to become aware of ourselves as a planet by the guests who are coming to dinner. If we’re talking about Pleiadians and Arcturians, how can we not think about terrestrials? We’re suddenly finding that we need to know more about ourselves, even as we attempt to know more about them. We can see that the galactics are studying us. Just get yourselves onto Ellie Miser’s distribution list. Ellie is a conscious Pleiadian starseed who studies us like an anthropologist.
They’re studying us. We’re studying them. Now we must also study us. We have to survey us, take stock of our credits and debits, surpluses and insufficiencies, gifts and weaknesses.
As I said in an earlier article, in regard to the work that needs to be done between now and the end of the year, primarily what we address is “problems.” We aim to turn unworkability into workability.
But we also need to get to know each other from a human vantage point. After years of focusing on our differences, we now need to focus on our similarities. What ties us together? We all have the same biological needs. We all live our lives by using and communicating ideas. We all have emotional reactions to things. And many of us also feel the tug of the spiritual.
So this is what it means to be human – at least on Planet Earth. Who’s coming to dinner are more humans like us, from other dimensions and places. We already know they’ll have the Adam Kadmon form. Their bodies may have some of the biological processes that ours do or maybe fewer of them. They’ll traffic in ideas, though perhaps telepathically. They’ll react to things with emotions, though less dramatically than us. And we know they worship the same God, see the purpose of life as knowing themselves and God as one, and live their lives in service to others.
So this is a framework that we can use to see what it means to be a human being, whether we are talking about us as humans or the galactics. As we begin our global conversation, we’re talking as one human being to another and what this article describes is what we share in common.
Footnotes
(1) “Having a Global Conversation,” April 7, 2012, at http://the2012scenario.com/2012/04/having-a-global-conversation/
(2) Project Camelot Interviews David Wilcock, Part 2 of 4, at http://www.youtube.com/watch?v=0Bz9YPriDLo&feature=channel . For more on this subject, see “We Gaians (Repost),” at http://the2012scenario.com/2011/10/we-gaians-repost/
0
No comments:
Post a Comment